300 visiteurs sont venus découvrir les métiers du social à l’Ites de Guipavas


Le 25 novembre 2024 à 15h19 Présents aussi pour la journée du travail social et de la formation samedi 23 novembre 2024, les représentants de la Sauvegarde ont présenté les différentes activités de l’association. Les professionnels des métiers du social étaient présents durant toute une matinée, samedi 23 novembre 2024 à l’Ites, établissement de formation de la Sauvegarde situé à Guipavas, pour la journée du travail social et de la formation. Environ 300 visiteurs, jeunes en réflexion sur leur avenir et leur formation et adultes envisageant une reconversion professionnelle, ont pu rencontrer professionnels et représentants d’autres structures de formation comme le Greta, Croix-Rouge formation ou encore l’UBO, partenaire avec lequel l’Ites va encore renforcer ses liens en signant à l’avenir une nouvelle convention. Cette journée a permis à ces nombreux visiteurs de mieux connaître les métiers du social et ses...

À Brest, l’institut Jean-Louis Étienne déménage après deux ans de travaux


Le Dispositif intégré thérapeutique, éducatif et pédagogique (DITEP) Jean-Louis Étienne proposait, jeudi 7 novembre 2024 une visite du nouvel établissement, 9, rue de Pen-Ar-Créac’h, à Brest (Finistère). Après deux ans de travaux, 42 garçons et filles de 6 à 18 ans pourront profiter de nouveaux locaux pour renouer avec la réussite scolaire. Le Dispositif intégré thérapeutique, éducatif et pédagogique (DITEP) Jean-Louis Étienne s’est installé au 9, rue de Pen-Ar-Créac’h, à Brest (Finistère). Quarante-deux garçons et filles, âgés de 6 à 18 ans et présentant des troubles psychiques ou psychiatriques, sont accueillis de jour pour y trouver un accompagnement et rompre avec l’échec scolaire. « Le bâtiment n’était plus fonctionnel, explique Frédéric Canevet-Jézéquel, le directeur général de l’association La Sauvegarde, qui gère le DITEP. Nous avions besoin d’accueillir les jeunes dans de meilleures conditions. » Jeudi 7 novembre 2024, le service médico-social de La Sauvegarde de l’enfance a dévoilé le résultat de deux ans de travaux, pour un budget de 4,7 millions d’euros, financé par l’Agence régionale de santé (ARS). Plusieurs nouvelles salles promettent de changer l’encadrement des jeunes : un foyer, un espace informatique, une salle d’arts plastiques et de bricolage. « Se découvrir, pas repousser ses limites » Le médecin-explorateur Jean-Louis Étienne était sur place pour la traditionnelle coupe du ruban. Il suffit d’entendre le discours du premier homme à atteindre le pôle Nord en solitaire, pour comprendre pourquoi l’établissement porte son nom. « L’exploration, c’est améliorer sa connaissance, raconte-t-il. On ne repousse pas ses limites, on les découvre. » Les jeunes profiteront d’une stabilité, de sécurité et d’encouragements pour construire leur avenir. « Dans l’éducation, l’autorité s’incarne souvent par la sévérité, conclut Jean-Louis Étienne. Je pense qu’elle s’incarne par la...

À Brest, l’émouvante inauguration d’un accueil de jour par le médecin et explorateur Jean-Louis Étienne


C’était un petit discours tranchant et drôle, formidable d’humanité. Pour l’occasion, face au ruban rouge inaugural et aux bâtiments tout neufs, jeudi 7 novembre 2024 à Brest, Jean-Louis Étienne est sorti de son rôle habituel. Car c’est de lui, et spécialement de cet enfant que rien ne prédestinait à un si brillant parcours, dont il a parlé. Ici, dans ce Ditep (dispositif de l’institut thérapeutique, éducatif et pédagogique), ce sont aussi des enfants que rien ne prédispose aux voies classiques qui viennent chercher de quoi se remettre d’aplomb. Sans langue de bois, Padrig Guéné, responsable du service de l’accueil de jour, explique. « Ce sont des gamins de 6 à 18 ans qui étaient scolarisés, mais qui souffrent de troubles psychiques ou psychiatriques qui les empêchent de poursuivre normalement. L’idée est de leur permettre de se soigner mais aussi de se ressourcer pour envisager leur avenir ». Entouré de médecins, mais aussi d’éducateurs et d’enseignants spécialisés, l’enfant est alors aidé pour se reconstruire peu à peu, et parfois même réintégrer un parcours scolaire. « Ce qu’il faut, c’est ne plus les mettre en situation d’échec », poursuit le responsable. L’accueil de jour du Ditep ne milite que pour ça. « Il fallait rester dans le quartier » Et c’est donc maintenant à Pen-ar-Créac’h que l’affaire se tient. Depuis des années, le service était basé rue de Douarnenez, derrière le stade, avant qu’il soit décidé d’occuper cette parcelle qui appartenait naguère à l’évêché pour partie et à Don Bosco pour l’autre. « C’était important de rester dans le quartier », note Roger Abalain, un administrateur qui se réjouit de cette modernisation spectaculaire comme il se réjouit de la venue de Jean-Louis Étienne qui était déjà le parrain de cet institut depuis plus de 30 ans. Parrain...

A l’ITES, une journée dédiée à la parentalité mardi Fév16

A l’ITES, une journée dédiée à la parentalité mardi


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Les enfants du Ditep sont accueillis à l’école Isabelle-Autissier Fév16

Les enfants du Ditep sont accueillis à l’école Isabelle-Autissier


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Violences intrafamiliales : à Brest, l’association La Sauvegarde 29 innove pour libérer la parole Déc20

Violences intrafamiliales : à Brest, l’association La Sauvegarde 29 innove pour libérer la parole


La Sauvegarde 29, implantée à Brest (Finistère), fait partie des quinze associations lauréates, dont le projet a été récompensé le 5 décembre 2023, à Paris. Sa particularité ? Proposer aux enfants victimes et aux parents des ateliers innovants favorisant la libération de la parole et la prévention des violences intrafamiliales. Pour sa 16e édition, l’opération de mécénat Atout Soleil, portée par le fonds de dotation « Nos épaules et vos ailes », GPMA (Groupement prévoyance maladie accidents) et l’assureur Generali, a choisi d’accompagner des structures qui agissent au quotidien pour prévenir et lutter contre les violences sexistes et sexuelles, familiales et conjugales au sein du foyer et en dehors. L’association La Sauvegarde 29, créée il y a 80 ans, qui œuvre dans l’intérêt des enfants et des adolescents, a été sélectionnée pour deux de ses projets. Des ateliers sous forme de saynètes Le premier, intitulé Tous des héros, s’adresse aux enfants de 7 à 12 ans pour les aider à identifier des situations de violences familiales à travers des ateliers d’activités ludiques, interactives et participatives. L’objectif est d’amener les enfants à mettre des mots sur leur vécu, à reconnaître des situations qui ne sont pas  normales  et à pouvoir désigner une personne de confiance dans leur entourage.  L’idée est d’outiller ces enfants pour faire face aux violences qu’ils pourraient rencontrer ou ont déjà rencontrées », explique Frédéric Canevet-Jézéquel, directeur général de La Sauvegarde 29.  Ces violences peuvent être intrafamiliales mais aussi extérieures, à l’école ou dans le club de sport.  Encadrés par trois professionnels pour six enfants, ces ateliers vont, par exemple, s’exercer sous forme de saynètes illustrant des violences que les enfants peuvent être amenés à vivre ou ont déjà vécu. Un projet de podcasts Parallèlement à ces ateliers, l’association a également présenté un projet pour les parents victimes ou auteurs de violences. L’idée est de leur...