REPORTAGE. Au Sénégal, des stages pour mineurs bretons en difficulté Mar06

REPORTAGE. Au Sénégal, des stages pour mineurs bretons en difficulté

Brest le 4 mars 2020

Un bel article, ce matin, en dernière page d’OUEST-FRANCE.

Il donne une idée de ce que sont les séjours dits « de rupture » pour des jeunes accueillis dans les services de La Sauvegarde du Finistère que j’ai eu l’honneur et la responsabilité de présider de septembre 2011 à juin dernier. Patricia Adam a pris le relais et préside La Sauvegarde depuis la dernière Assemblée Générale de juin 2019.

La Sauvegarde, est dirigée par Sylvie ROGEL. Elle anime une équipe de direction et de professionnel(le)s qui, dans le cadre de financements publics (Départements, Etat) accueillent et accompagnent des jeunes en difficultés et/ou confiés à l’Aide Sociale à l’Enfance. Pour tout savoir sur La Sauvegarde, et pour plus de précisions et d’illustrations sur les séjours de « rupture » au Sénégal, au Maroc et en Espagne, je vous invite à visiter le site http://www.adsea29.org.

Concernant le séjour de « rupture » au Sénégal dont il est question dans l’article, il est important de savoir que les jeunes qui sont confiés à La Sauvegarde sont accueillis sur place par des professionnel(le)s locaux, salarié(e)s de l’ONG sénégalaise J.C.L.T.I.S (Jeunesse, Culture, Loisirs, Technique, Intervention Sociales).

JCLTIS est dirigée par mon ami Guirane Diéne qui a eu l’occasion de venir à plusieurs reprises dans le Finistère, à la rencontre des professionnel(le)s et administrateurs de La Sauvegarde.

Il est aussi venu à Brest, en 2016, dans le cadre de la Quinzaine de la Solidarité Internationale (du 19 novembre au 4 décembre 2016) pour témoigner d’une autre façon de concevoir la solidarité en inversant cette fois les termes SUD/NORD. C’est ce à quoi participe J.C.L.T.I.S en apportant à des jeunes français, et le plus souvent finistériens, la possibilité de retrouver confiance en eux avec le soutien et le témoignage de vie des professionnel(e)s et familles sénégalaises qui les accueillent.

J.C.L.T.I.S mène des actions de formation et d’insertion professionnelle pour les jeunes de la région de DAKAR et est engagée pour « Agir contre la mendicité et l’exploitation des enfants du Sénégal ».

Retrouvez l’article de Ouest France partagé sur Facebook

 

Retrouvez ci-dessous l’article paru dans Ouest France du 4 mars 2020

Plusieurs associations bretonnes proposent des « séjours de rupture » au Sénégal à des mineurs en délicatesse avec la justice.

L’idée : changer d’air pour sortir d’une spirale négative