À Guipavas, l’Ites obtient la certification Qualiopi pour la qualité des formations dispensées Déc06

À Guipavas, l’Ites obtient la certification Qualiopi pour la qualité des formations dispensées


Publié le 01 décembre 2021 à 16h57 Hélène Guillamot, directrice de l’ITES, Philippe Méneur, coordinateur, Sylvie Rogel, directrice générale de la Sauvegarde et Patricia Adam, présidente de la Sauvegarde. Mardi, à l’Ites (Institut de formation au travail éducatif et social), situé à Kergaradec à Guipavas, le personnel et les membres du conseil d’administration de La Sauvegarde – association de protection dont l’Ites est l’organe de formation – se sont retrouvés pour se féliciter du travail fourni ces derniers mois. En effet, un grand travail d’audit a été réalisé afin de présenter le dossier d’obtention de la certification Qualiopi, demandée pour les établissements de formation dans le cadre de la loi Travail. En effet, l’État a marqué une volonté d’aplanir et de clarifier le fonctionnement et la délivrance des diplômes dans les établissements de formation en France. « C’est donc un nouveau référentiel de qualité qui est mis en place. C’est un dispositif plus rigoureux que les précédents, comme OPQF ou Datadock, qui doit être mis en place avant le 1er janvier 2022. Nous l’avons obtenu le 27 octobre dernier », explique Hélène Guillamot, directrice de l’Ites. La qualité des formations reconnue « Ce dispositif de qualité se base sur deux grands principes : la garantie de l’information pour tous et l’accès pour tous à ces formations. De plus, il incite les établissements à communiquer sur leurs résultats pour les différentes formations qu’elles soient diplômantes ou certifiantes », ajoute Philippe Méneur, responsable qualité au sein de l’Ites et coordinateur de ce travail mené par l’ensemble du personnel. Présente, ce mardi, Patricia Adam, présidente de La Sauvegarde, souligne l’importance de cette certification : « Ce travail était essentiel à la vie de l’établissement. Il montre sa bonne santé et reconnaît ainsi la qualité des formations qui y sont délivrées ». Pratique Ites (site de Brest-Guipavas) : 170,...

Ligue des enfants : la CNAPE vous remercie


A nos 240 héros du jour, nous adressons toutes nos félicitations pour leur participation au tournoi amical de football au Stade de France et espérons que ce week-end restera longtemps gravé dans leur mémoire.  Nous tenions également à remercier les éducateurs à leurs côtés pour leur engagement et leur soutien.  Enfin, merci aux associations de nous avoir accordé leur confiance pour ce projet inédit.   Après deux journées la tête dans les étoiles, revenons sur terre : des manteaux, des survêtements et même des chaussures ont été oubliés au Stade de France dimanche soir. Si vous êtes concernés, n’hésitez pas à vous manifester auprès de secretariat@cnape.fr en décrivant bien les objets perdus. Nous devrions par ailleurs recevoir des photos prises par les partenaires, que nous mettrons à disposition dès que possible.  Merci encore pour ce week-end exceptionnel et bravo à vous tous !  Fabienne Quiriau  Directrice...

Placement des enfants : le « tiers digne de confiance », un moyen d’éviter une nouvelle fracture


Au centre, Nathalie Conq, directrice DEMOS, SAFA, Maison des parents, de La Sauvegarde de l’enfance à Brest et Gaëlle Quémeneur, éducatrice DEMOS, ont accueilli pour ce nouveau groupe de parole, Anne Chanteux-Caron (à gauche), avocate au barreau de Brest et la juge pour enfant Stéphanie Le Bouffos (à droite), coordinatrice du Tribunal pour enfant à Brest. (Le Télégramme/Stéphane Jézéquel) Il existe une solution pour éviter le foyer ou le placement en famille d’accueil d’un enfant. Zoom sur l’utilité et le statut du « tiers digne de confiance », aux côtés de La Sauvegarde de l’enfance qui organisait, à Brest, ce samedi, un groupe de parole. Lorsque les parents ne sont plus en capacité d’assurer l’éducation et la subsistance de leur(s) enfant(s), lorsque l’enfant est en danger auprès de ses parents, le juge peut décider un placement en foyer ou en famille d’accueil. Mais de plus en plus souvent, il examine les possibilités de confier l’enfant à un tiers digne de confiance. Souvent, un membre de la famille mais pas exclusivement. Le plus souvent les grands-parents, un oncle, une tante ou un ex-conjoint. Plus rarement un ami de la famille, un voisin très proche… L’intérêt de la démarche est de préserver l’enfant ou la fratrie unie dans le cercle familial, d’éviter une nouvelle fracture avec l’arrivée délicate dans un foyer ou une famille d’accueil. Le lien familial maintenu, même ténu et fragile, permet à l’enfant d’évoluer auprès d’un proche qu’il connaît et qui ne manquera pas de le soutenir jusqu’à sa majorité et au-delà. Désigné par le juge des enfants C’est le juge des enfants qui désigne la personne ou le couple qui devient tiers digne de confiance. Le principe est expliqué par le magistrat. C’est également le juge des enfants qui, selon la situation connue, définit...

Finistère. Sept places vont être créées pour les enfants à besoins multiples Juil26

Finistère. Sept places vont être créées pour les enfants à besoins multiples


Ouest-France – Véronique MOSSERPublié le 25 juillet 2021 à 16h16 Un groupement de coopération sociale et médico-sociale vient de voir le jour sur le territoire de la Cornouaille. Deux lieux d’accueil vont être créés pour les enfants en grande souffrance. Hervé Jacq et Patricia Adam ont signé la convention en présence de Sylvie Rogel (Sauvegarde 29), Gwenn Talec (Fondation Trévidy) et Gwenaelle Boissy (Fondation Trévidy) | OUEST FRANCE     Hervé Jacq, président de la Fondation Massé-Trévidy, et Patricia Adam, présidente de la Sauvegarde 29, ont signé une convention, ce jeudi 22 juillet 2021, au club-house du Golf de Kerbernez, à Plomelin (Finistère). Les deux entités ont décidé de travailler main dans la main. Elles lancent un projet d’avenir pour les enfants : un groupement de coopération sociale et médico-sociale (GCSMS). « Cette convention résulte d’un appel à projet lancé par le conseil départemental, pour créer sept places à destination des enfants aux besoins multiples, explique Hervé Jacq. Une somme de 1,4 million d’euros par an est allouée pour ce projet par le Département.» Une maison et un lieu de vie Grâce à cette convention, deux lieux d’accueil pour les enfants de 6 à 18 ans vont voir le jour. Ils permettront de leur éviter une hospitalisation. « Ce sont des enfants qui rencontrent un certain nombre de difficultés et de souffrances (sociales, familiales, psychologiques, comportementales) et dont les mesures sont décidées par les juges pour enfant, précise Patricia Adam, présidente de la Sauvegarde 29. Pendant le confinement, les signalements auprès des juges ont augmenté de 25 %. » Une première maison va ouvrir à Pleuven. Elle accueillera trois enfants. Un deuxième lieu de vie sera créé pour quatre autres enfants. « Nous cherchons un lieu qui puisse convenir dans la Cornouaille », poursuit...

À Guipavas, les GDR Tennis accueillent les premières séances de sport adapté


Le Télégramme – Publié le 11 mai 2021 à 14h38 Tanneguy Velly et Romain Léost accompagnés des quatre jeunes, Mayron, Sheun, Ivan et Miguel, de l’ITEP. Le vendredi 7 mai, sur les courts de padel-tennis du complexe du Moulin Neuf, les Gars du Reun ont proposé la toute première séance de sport adapté. Quatre jeunes de l’institut thérapeutique éducatif et pédagogique Jean-Louis Étienne, institut géré par l’association de la Sauvegarde de l’Enfance, à Brest, ont fait leurs premières armes dans le padel-tennis avec l’aide de Tanneguy Velly, professeur du club, et de Romain Léost, leur éducateur sportif. Le padel-tennis est un mélange entre le tennis et le squash. La structure de Guipavas est composée de deux courts semi-ouverts et couverts. « Dans un premier temps, nous avons mis à disposition du matériel adapté comme des balles plus grosses. Mais le padel est un sport très ludique et rapidement très accessible. Par rapport au tennis, le joueur débutant passe moins de temps à chercher la balle dans les coins et recoins et prend plaisir à jouer beaucoup plus vite », précise Tanneguy Velly. Un cycle de découverte Pour ces jeunes, ces séances viennent compléter le cycle de découverte proposé par Romain Léost : « Depuis le début de l’année, nous avons pratiqué du squash, du tennis de table, mais aussi des sports moins connus comme le tchoukball ou le kinball. Ce qui compte vraiment, au delà de la performance, c’est que ces jeunes en situation de handicap prennent du plaisir dans la pratique sportive. Ils avaient déjà pratiqué des sports de raquette et se sont vraiment amusés au padel », ajoute Romain Léost. Cinq autres séances sont prévues. « Nous espérons pouvoir proposer des créneaux de façon pérenne à la rentrée », indique Tanneguy...

À Brest, SOS Méditerranée a expliqué ses missions à l’Itep


Le Télégramme – Publié le 12 mai 2021 à 11h55   Les missions de SOS Méditerranée ont été expliquées aux élèves, mardi. L’Institut thérapeutique éducatif et pédagogique (Itep) Jean-Louis-Étienne, à l’antenne « Accueil de jour ados », située 16, rue du Dr-Floch, a invité mardi Christophe Inizan, correspondant local de l’association SOS Méditerranée, pour une intervention pédagogique auprès des élèves. C’était une initiative de Joëlle Cabon, soucieuse de participer à l’ouverture de ses élèves sur l’extérieur. 14 000 € par jour en mer L’intervenant a expliqué le but de l’association créée le 9 mai 2015. « Elle agit pour mettre fin aux naufrages en mer Méditerranée centrale, en poursuivant trois missions principales : sauver des vies, protéger les rescapés et témoigner de la situation ». Il a, de plus, sensibilisé les élèves sur la tragédie des naufrages, le devoir de porter assistance en mer, la nécessaire mobilisation des citoyens, le déroulement et l’efficacité des opérations de sauvetage. SOS Méditerranée vit essentiellement grâce aux dons et à l’aide de nombreux bénévoles. Le coût d’une journée en mer est de...